22 November 2018 | Comptabilité et Gestion

Le restaurant Le Rugantino se confie sur sa relation avec Fideis

L’adage raconte qu’il n’existe pas de meilleurs ambassadeurs que ses propres clients. Quoi donc de mieux que tendre le micro à celles et ceux qui nous ont fait confiance. Nous sommes allés à la rencontre de notre client Salvatore Mucavero, le patron du restaurant italien Le Rugantino.

Depuis un an et demi, Le Rugantino fait partie des clients dont Fideis a la charge. Situé dans le centre de Clémency, l’établissement italien est bien connu des fins gourmets de la région. Grâce à des produits frais et une carte variée, la maison s’est faite une réputation et les tables sont bien souvent réservées à l’avance.

Salvatore Mucavero gère d’une main de maitre ce restaurant depuis maintenant un peu plus de deux ans. S’il s’agit de son seul restaurant, l’italien est fier de ce qu’il est devenu. Il peut aujourd’hui accueillir jusqu’à 180 couverts. La rançon du succès l’a même poussé à engager 12 employés. En chef d’entreprise aguerri, Salvatore Mucavero connait donc parfaitement les rouages d’une entreprise. Dans ce cadre, il a accepté de se confier sur sa relation avec Fideis.

 

Q : « Comment avez-vous connu Fideis ? »

« J’avais un expert-comptable qui travaillait à Esch-Sur-Alzette, dans un grand cabinet, mais c’était trop loin pour mon restaurant situé à Clémency » nous explique Salvatore. « Alors à un moment donné, on s’est demandé s’il existait quelque chose de plus local. Personnellement, je préfère travailler en local. Et on s’est aperçu qu’il y avait Fideis dans le village. Après quelques recherches sur Internet, on les a contactés très simplement. »

Q : « Quels sont les avantages de travailler avec une fiduciaire de proximité, à taille humaine ? »

« Le premier avantage, c’est justement cette proximité. Si nous souhaitons les voir, cela va beaucoup plus vite. Nous n’avons pas besoin d’appeler pour prendre rendez-vous, comme dans les grands cabinets. En cas de problème, nous sommes reçus tout de suite. De plus, ils connaissent parfaitement la réalité économique de la région. Ils ne sont pas déconnectés : ils comprennent la réalité du terrain. Ils voient le business. C’est un dialogue ouvert » commente le patron du restaurant.

Pour Salvatore Mucavero, la taille contenue du cabinet joue également un rôle essentiel : « Ils sont là, sur place. Ils ne sont pas une centaine, à se renvoyer la balle. Ensuite, comme c’est à taille humaine, ce ne sont pas les mêmes coûts que dans les grands cabinets. Mais le boulot est fait exactement de la même manière ! D’une certaine manière, c’est moins de bureaucratie et plus d’efficacité. La réactivité dont fait preuve Fideis est absolument cruciale pour les petites et moyennes entreprises comme la mienne ».

Q : « Le fait de travailler avec des experts-comptables qui sont avant tout des entrepreneurs, est-ce bénéfique pour vous ? »

« Oui, c’est une vraie relation donnant-donnant. Comme ce sont des entrepreneurs, ils anticipent. Et cette proactivité apporte une tranquillité d’esprit qui fait du bien. Nous pouvons nous concentrer sur notre business » nous confie-t-il. « Dans un grand groupe, vous devez déposer votre dossier à l’accueil et vous ne voyez personne. Moi, je ne fonctionne pas comme ça. J’ai besoin d’un contact avec la personne, comme avec les fournisseurs. Un commercial doit passer, je dois le voir. Sinon, c’est trop facile. »

Q : « Que pensez-vous du système de forfait mis en place par Fideis ? »

« Le forfait est beaucoup mieux pour moi. Avec certains prestataires, vous avez parfois des surprises pour une déclaration ou un simple papier. Je ne trouve pas ça juste. Nous n’avons pas tous 7 ou 8 restaurants, sur lesquels on peut se reposer. J’ai un grand restaurant certes, mais je suis encore tout petit » raconte le chef d’entreprise.

« Donc la plus-value de Fideis ne se résume pas uniquement aux économies réalisées à la fin de l’année. Il y a aussi le service que me propose Fideis tout au long de l’année. Qui est exceptionnel. C’est un 10/10 de mon côté. Par exemple, j’ai demandé un bilan intermédiaire et cela a été fait en même pas une semaine ! ».